Il m’est arrivé de suivre coûte que coûte
Le macadam détrempé de certaines routes
Mettre mes pas dans les ornières de chemins
Qui se sont révélés être, sans lendemain.
J’ai poursuivi les lumières des étoiles
Mais une fois qu’elles tombèrent leur beau voile
J’ai saisi que ce n’étaient que des sorcières
Qui voulaient me perdre, au plus profond du désert.
Un temps, j’ai senti la mort me donner des ailes
Elle fit tout pour que je vienne avec elle
Dans ses palais où des festins de dieux résonnent
Pour ceux qui aux douces walkyries s’abandonnent.
J’ai suivi des directions pour nulle part
Qui m’ont ramené en permanence, au départ
Pour aller chercher encore un autre horizon
Sans encore cette fois, écouter ma raison
Je me suis fréquemment demandé où aller
Quand je sentais que mon destin, était scellé
Par la main d’une fatalité implacable
Dont la farouche logique est inexorable.
Plus de mille fois je me suis interrogé
Autant de fois je me suis senti affligé
Et j’ai voulu mettre un terme ultime à mon présent
En imprégnant mon avenir de mon sang.
Aujourd’hui j’espère que ces temps sont finis
Car je ne distingue plus à l’infini
Que l’Amour brillant, dans la boule de cristal,
Chantonner son incomparable récital
Maintenant ce qui ressemble à mon avenir
Ce que je voudrais être mon devenir
Je le vois tel un ciel ensoleillé et radieux
Parce que je le vois, à présent, dans tes yeux.
Le macadam détrempé de certaines routes
Mettre mes pas dans les ornières de chemins
Qui se sont révélés être, sans lendemain.
J’ai poursuivi les lumières des étoiles
Mais une fois qu’elles tombèrent leur beau voile
J’ai saisi que ce n’étaient que des sorcières
Qui voulaient me perdre, au plus profond du désert.
Un temps, j’ai senti la mort me donner des ailes
Elle fit tout pour que je vienne avec elle
Dans ses palais où des festins de dieux résonnent
Pour ceux qui aux douces walkyries s’abandonnent.
J’ai suivi des directions pour nulle part
Qui m’ont ramené en permanence, au départ
Pour aller chercher encore un autre horizon
Sans encore cette fois, écouter ma raison
Je me suis fréquemment demandé où aller
Quand je sentais que mon destin, était scellé
Par la main d’une fatalité implacable
Dont la farouche logique est inexorable.
Plus de mille fois je me suis interrogé
Autant de fois je me suis senti affligé
Et j’ai voulu mettre un terme ultime à mon présent
En imprégnant mon avenir de mon sang.
Aujourd’hui j’espère que ces temps sont finis
Car je ne distingue plus à l’infini
Que l’Amour brillant, dans la boule de cristal,
Chantonner son incomparable récital
Maintenant ce qui ressemble à mon avenir
Ce que je voudrais être mon devenir
Je le vois tel un ciel ensoleillé et radieux
Parce que je le vois, à présent, dans tes yeux.